J’ai toujours aimé écrire, balancer sur une feuille blanche tous les sentiments refoulés, en espérant que tout s’arrange avec le temps. Aujourd’hui j’ai envie de vous parler de cœur brisé…

Que l’on ait 15ans ou 36, je pense que la sensation reste la même. Vous savez de quelle sensation je parle n’est-ce pas ? Cette sensation que tout est hors contrôle, et peu importe les mots, ou les gestes, les jeux sont faits et vous ne pouvez en aucun cas revenir en arrière. Il y a quelque temps j’ai eu des sentiments pour un de mes meilleurs amis, des sentiments venus de nulle part et qui m’ont fait perdre la tête. Oui j’ai bien dit perdre la tête. Puisque lorsque ces sentiments vous traversent, vous ne contrôler plus rien, vous êtes comme obligé de vous laisser aller. Et le jour où vous retombez sur terre, l’atterrissage fait d’autant plus mal.

Ilparaît que le temps a un effet magique, comme si tout pouvez s’effacer. La vérité c’est que les secondes ont défilés, les heures sont passé, ont entrainé les jours avec eux, les mois se sont enchaînés et moi je ne pense pas avoir tant bougé. La vérité, c’est que peu importe l’âge, la nationalité, la religion ou même le sexe, nous avons tous déjà ressentit cette sensation de vide, lorsque la personne aimé disparaît de nos vies.

Aujourd’hui la sensation a changer, elle s’est peut être diminué, la vérité c’est que j’aurais tellement de chose à dire, j’aurais tellement de chose à lui faire comprendre. J’aurais tellement aimé qu’il comprenne mon incompréhension, qu’il voit que de mon côté je ne jouais pas, et que ces sentiments incontrôlés étaient sans doute plus réel qu’il ne le pensait.

La vérité c’est qu’aujourd’hui j’aimerais qu’il comprenne que je suis sortis plus affaiblis de cette relation, qu’une fois de plus j’ai joué a un jeu qui a finis par me brûler bien plus que les ailes. Aujourd’hui j’aimerais pouvoir penser que j’ai réellement compté, mais surtout j’aimerais pouvoir avancer sans aucun regret. Mais vous savez ce qu’on dit, dans la vie on n’a pas toujours ce que l’on veut.

L'attachement est une absurdité, une incitation a la douleur.

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